4) LA RENCONTRE
Marianne se réveilla. Sa tête, son dos lui fessaient atrocement mal. La forêt était si dense que la nuit paraissait être le néant. Elle essaya de se rappeller se qui lui était arrivée: la clairière, le galop, l'oiseau, sa jument, la branche... Sa jument où était-elle? Que lui était-il arriver? Allait-elle la retrouver vivant?
"oiseau de malheur" pensa-t-elle.
Elle pensa à ses parents, ils devaient s'inquiéter. Elle fouilla dans son sac banane et en sorti son portable. Pas de réseau, c'était bien son jour de chance! les larmes coulaient le long de ses joues. Où était-elle? Comment allait-elle rentrer chez elle? Elle couvrit son visage de ses mains et éclata en sanglot. Elle avait mal partout, mais pensait surtout à sa jument.
Soudain, elle sentie un souffle sur ses main, une respiration douce et chaude. Elle connaissait cette respiration, cette odeur, commune qui lui remplissait les narines. C'était-elle. cricket était revenu, elle l'avait entendu pleurer. Sa jument la console, en lui soufflant dessus.
La jeune fille essuya ses larmes et ouvrit grands les yeux. Elle découvrit alors cet animal. Ce n'était pas Cricket. Non, elle devait rêvé! Être encore assommée! Cet être étrange ne pouvait être là devant ses yeux, en train de la regarder...
Comment, cela pouvait être possible. Marianne cligna des yeux. Elle voulait tendre la main, le carressait, voir si il était vraiment réel. Mais n'osait pas...
Mi cheval, mi licorne, mi oiseau, il était magnifique, puissant, irréel... Et sa robe grise métallisé éclairait entièrement la forêt. Sa crinière si longue lui donnait un air de sauvage. des ailes étaient repliaient le long de ses flancs. Et cette corne, sur son chanfrein, était si fine et en même temps si solide.
- Tu... tu... est réel, lui demanda-t-elle bégayant.
Et à sa grande surprise...
-Bien sûr que je suis réel. Je suis en chaire et en os comme toi jeune fille. Lui répondit le cheval.
-Mais...mais... tu parles!
-Et oui, je parle, je vole, je chante, je galop...
-C'est pas possible, je délire. Non je rêve encore...
-Non, non je te le confirme tu ne rêves pas. Tu sais cela fait des années que je te recherche. Et voilà, j'ai enfin réussi. Chère Marianne, mon nom est Pégasus et ensemble nous sauverons le monde. Moi par ma magie, toi par ton âme pure!
- Je... je ... ne comprend rien, répondit Marianne en bégayant.
- Je sais c'est difficile à comprendre. Mais tu verras c'est très simple. Bon pour l'instant, je vais te ramener chez toi. Grimpe sur mon dos et indique moi le chemin. Tu veux bien.
-Monter? Sur ton dos?
-Bien sur, tu montes bien à cheval. Non?
-Oui un cheval mais pas un ...
-Cheval volant? Et bien c'est la même chose.
Les ailles et la corne du cheval disparurent. Ainsi, il ressemblait à un magnifique cheval pur race espagnol.
-Voilà comme ça je te parrais plus réel?
-Euh! Oui mais!
-Aller ne discute pas, monte sur mon dos et rentrons chez toi. Tes parents doivent s'inquiétaient.
Marianne se leva et d'un bon enfourcha sa magnifique monture.
- Je sais pas comment faire pour sortir d'ici!
-Moi je sais lui répndit Pégasus tout en se mettant au pas.
Marianne lui indiqua le chemin jusqu'à la pâture des chevaux.
Elle voulait voir si sa jument était rentrée seine et sauve. Tout au long du chemin, ils ne parlèrent pas. La nuit était calme. Sa jument était là en train de manger avec les autres. Marianne mis pied à terre.
-Je vais voir comment elle va, attend moi là. La jeune fille ouvrit la barrière et s'approcha doucement des chevaux. Elle les caressa et leur posa un tendre baissé sur la joue.
Cricket n'avait aucune égratignures. Elle se portait bien. Ces parents avaient du la trouver toute harnacher. Comme ils devaient s'inquiétés.
-Je vais te mettre dans cette pâture, enfin...sauf si tu veux repartir!
-Pourquoi repartir, je t'appartient dorénavant. Je suis ton cheval. Mais j'ai oublier de te dire que sous cette apparence de cheval "normal", je me nomme Roméo. Ne te trompe pas de nom, si non mais ailes et ma corne réapparaîtrons.
-D'accord, alors à demain Roméo. Elle lui posa un baisser sur la joue et se dirigea vers sa maison.
Ses parents l'attendaient dans le salon. Ils furent soulagés en la voyant en bonne santé. Elle leur expliqua son aventure, sans leurs avouer que Roméo était magique.
Elle alla se couchait, après que ses parents lui disent qu'ils chercheraient les propriétaires de l'étalon demin. Marianne le savait, la propriétaire c'était elle. Il lui appartenait. Le cheval se ses rêves c'était lui. Roméo, Pegasus...
Cette nuit la, elle fit des rêves tous aussi magiques que son nouvel ami...
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