6)OXONE
Marianne avait écrit une lettre à ses parents, leur disant qu'elle partait quelque temps, chez son amie, Louna. Ainsi, elle pouvait rester avec Arold, pour se perfectionner, sur le maniement de l'épée. Cependant, Pegasus était toujours absent. Il n'avait pas voulu lui dire où il allait.
Et, ce matin là, il arriva de donne heure.
-Vite Marianne lève toi! habille toi tu doit partir, loin d'ici.
-Quoi? Qu'est ce qui se passe, Pegasus?
-Je n'ai pas le temps de t'expliquer, Arold t'attend. Je vais essayer de les retenir. Le cheval sortie de la chambre. Marianne s'habilla aussi vite quelle le put. Arold l'attendait, il lui tendit un manteau noir et son épée. Puis, il l'attrapa par le bras. On entendait de cris. Des femmes, des enfants, des hommes criaient. Quelque chose était entrain de les tués. Arold ouvrit une porte secrète derrière une grande armoire. Un escalier descendait en colimaçon. Il y faissait noir. L'homme attrapa une torche et l'alluma, avec son briquet.
-Suis moi et fait attention sa glisse.
La jeune fille le suivit prudemment et lui demanda:
-Qu'est ce qui se passe dehors?
-Ils te cherchent. Ils savent que tu es ici. C'est pour cela qu'on doit partir au plus vite.
-Qui? Qui me cherche?
-Ceux qui on besoin de toi pour retrouver les êtres fantastiques! Chute! il faut qu'on fasse le moins de bruit possibles.
Ils arrivèrent au bout de l'escalier. La cave était remplis d'eau. Ils en avaient jusqu'aux genoux. On entendait des rats fuirent devant eux. A quelque mètre au dessus d'eux l'armée d'Oxone venait de passer, tuent sur leur passage les gens de la cité, qui fuyaient. Pegasus était à leur côté, tuant lui aussi les soldats d'Oxone. L'armée de Lydya était faible face à ses guerriers, crées pour tuer.
Marianne et Arold arrivérent fassent à un vaisseau. L'homme s'approcha de la machine et composa un code, pour ouvrir la porte.
-Monte, dépêche toi !
-Mais Pegasus?
-Monte, il nous rejoindra.
La jeune fille monta et s'installa au coté d'Arold. Celui-ci alluma la machine. Le toit s'ouvrit au dessus d'eux et ils s'envolèrent, aussi vite qu'une éclaire vers le pays de Saigas.
Dans le ciel, l'ombre d'un homme volant venait de disparaître. Il était le seul à les avoir vu partir...
*
0 Comments:
Enregistrer un commentaire
<< Home