Le cheval gris s'élença dans un petit galop. Sa cadence était régulière et il s'emblait voler. Cela fessait six ans que Mariane travaillait Aloïs. De jour en jou, ils s'étaient ensembles perfectionner dans le dressage, enchainant pirouette, piaffer, passage... Une entante parfaite s'était créé entre-eux à force de patience et de carreses
- C'est bien bonhome, on va arrété là pour aujourd'hui.
le petit pur-sang gris sortait d'un lomg moi de repos, car il s'était déplacé des vertébres ence roulant.
- Allait vient je dois encore m'occuper de Cricket et Fanion.
Le cheval la suivi d'un pas tranquille, jusqu'à la sellerie.
Ce pur-sang vivait au prè en compagnie d'une très belle jument, Cricket et d'un vieu poney, Fanion. Mariane conduissie la jument à la sellerie, après avoir laché Aloïs et l'avoir regardé se rouler.
- On va allait faire une ballade, ça va te faire du bien.
Elle enfourcha sa jument et partir vers la forêt.

Un oiseau volait au dessus de leur tête. Cela fesait plusieurs jours que Mariane le voyait. Au point qu'elle se demandait pourquoi il était toujours là. car il semblait la suivre. Mariane l'oublia très vite pertée pas le trot que Cricket venait de prendre.

La petite jument s'engouffra dans la forêt, en fesant attention car cette partie du chemin était un peu pierreu. mariane aimat cette forêt car elle s'y sentait libre. Cricket aimait y venir pour galoper. Elle manifestait sa joie par une petite ruade à chaque départ au galop. La jeune fille avait mie quellques moi pour apprendre à sa jument à être s'éparer de ses congénéres. Maintenant ils s'arrivaient à se séparaient plusieurs heures.
L'oiseau marron volait toujours au dessus d'elles.
- Je l'avais oublié celui là!
Devant la cavalière et la jument s'étandaient une grande clairière. La même idée parcourue leur ésprit. Marianr recula sa jambe gauche et la jument s'élença dans un galop, sans oublier le fameux "coup de cul". Quel bonheur!
Soudain, l'oiseau s'abatit sur les oreilles de la jument. Celle si fit un écart et se cabra. Cricket partie dans un galop de peur. mariane fesait ce quelle pouvait, mais sa jument était devenu complétement folle. Elle fonçait droit devant en oubliant sa cavalière.
La jeune fille releva la tête, trop tard, elles se dirigaient vers la forêt où les arbres étaient très sérés. Et la "boum". Une branche vient frapper le visage de Mariane. Elle fut désarsonné. Son dos frappa violament le sol et elle s'évanouit.

(à suivre...)